Le 31 janvier, le plan était de prendre un bus le matin vers Hanoï pour ensuite prendre un autre bus de nuit vers le Sud.

Seulement voilà, une intoxication alimentaire s’impose à moi et je ne peux pas quitter mon lit (ou les toilettes) de la journée, à part pour tenter vaillamment de manger un peu de riz.

Nous repoussons donc notre départ au lendemain, et refaisons le même trajet qu’à l’aller mais à l’envers.

Arrivés à Hanoï, nous apprenons que nous ne pouvons prendre le fameux bus de nuit que le lendemain. 

Bon.

Nous retournons au même hôtel que précédemment pour la nuit.

Le soir, nous assistons à un spectacle de rue lors de notre recherche d’un endroit où manger.

Le lendemain, puisque notre bus n’est que le soir, nous allons visiter le musée de la femme vietnamienne.

Nous tentons aussi d’aller voir un spectacle de marionnettes traditionnelles, mais les horaires ne correspondent pas. 

Nous allons, du coup, nous asseoir au bord du lac Hoan Kiem, où deux enfant vietnamiens, sous les encouragements de leur père, viennent nous parler en anglais pour s’entraîner.

Le soir, nous allons finalement prendre notre bus de nuit, qui a une installation pour le moins originale, presque confortable lorsqu’on est pas trop grand. C’est à dire un peu moins grand que moi et définitivement moins grand que Michaël.

Nous arrivons à Phong Nha vers 4-5h du matin. 

Le gérant de l’hostel où nous dormons la nuit d’après est réveillé, et après avoir booké un tour avec lui pour la journée, il nous propose de dormir dans les lits qu’occupaient des gens qui sont partis dans le bus avec lequel nous sommes arrivés.

Nous acceptons sans hésitation.

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Au prochain épisode, Phong Nha – Ke Bang National Park.

A suivre…