Hanoï: part one
Le 24 janvier, nous prenons donc notre envol, et je quitte la Nouvelle-Zélande après presque 10 mois de découvertes.
Nous prenons un premier vol jusqu’à Sydney, puis un autre jusque Bangkok.

A Bangkok, nous récuperons nos bagages, faisons un visa, visitons l’aéroport, redéposons nos bagages et reprenons un avion pour Hanoï.
Ou nous faisons à nouveau un visa.
Une voiture de l’hôtel que nous avons réservé vient nous chercher et c’est déjà un premier choc.
La circulation est… Intense.
Il y a un nombre incalculable de mobylettes et scooters en tout genre, et pourtant, il est déjà assez tard.
L’effervescence est en partie expliquée par l’approche de la fête du Têt, le 28 janvier. Cette fête est l’équivalent vietnamien du nouvel an. Elle dure plusieurs jours et tous les vietnamiens retournent dans leur famille pour l’occasion. Surtout, la tradition veut que l’on décore les maisons, que l’on expose des arbres, que l’on fasse des offrandes… Tous ces préparatifs entrainent un énorme bazar qui ne fait qu’accentué la notion déjà très floue du code de la route, qui ne semble pas vraiment exister.
Les motos vont dans tous les sens, le casque ne semble pas indispensable, le nombre de personnes sur un scooter semble illimité, ainsi que la quantité et la taille des bagages (que ce soit un paquet, un arbre en pot, un meuble, une télé, des fruits…)
On ne comprend pas vraiment comment le taxi circule au milieu de tout ça, ni comment nous arrivons finalement à bon port.
A l’hôtel, nous sommes bien accueillis et on nous montre une chambre plutôt jolie comparée aux backpackers auxquels je m’étais habituée.
On a même des pétales de roses sur les lits qui ne sont pas des lits superposés !

Au prochain épisode, visite d’Hanoï.
A suivre…
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Et bien je vais suivre avec plaisir la suite du voyage. Bisous.